Customize Consent Preferences

We use cookies to help you navigate efficiently and perform certain functions. You will find detailed information about all cookies under each consent category below.

The cookies that are categorized as "Necessary" are stored on your browser as they are essential for enabling the basic functionalities of the site. ... 

Always Active

Necessary cookies are required to enable the basic features of this site, such as providing secure log-in or adjusting your consent preferences. These cookies do not store any personally identifiable data.

No cookies to display.

Functional cookies help perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collecting feedback, and other third-party features.

No cookies to display.

Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics such as the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.

No cookies to display.

Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.

No cookies to display.

Advertisement cookies are used to provide visitors with customized advertisements based on the pages you visited previously and to analyze the effectiveness of the ad campaigns.

No cookies to display.

La psychologie d'entreprise autrement

Pourquoi faut-il apprendre à oser dire « non » au travail ?

Dire « non » est particulièrement difficile, surtout au travail. Pourtant, refuser permet de fixer des limites aux autres et à soi-même pour mieux s’affirmer. Aussi, pour favoriser le débat et la communication, pour faire respecter ses droits ou pour se préserver, il est essentiel d'oser prononcer ce mot.

Pourquoi dire « non » est-il si difficile ?

Pourquoi est-il si compliqué d’exprimer son désaccord ? Par peur de se sentir incapable, de décevoir ou d’être trop incisif ? Il est vrai que le refus, quand nous le recevons peut être déstabilisant ou créer une situation de malaise. Alors nous calquons nos ressentis sur ceux des autres et n’osons pas. Toutefois, dire « non » c’est garantir son bien-être.

Pour éviter de devoir dire « non », nous trouvons des formules qui nous semblent plus correctes socialement, en y allant par quatre chemins. Qui n’a pas menti à propos d’une invitation auquel il n’avait pas envie d’aller en disant « je crois que je suis malade » ou alors qu’il suffisait simplement de refuser ?  Dans un contexte professionnel, dire « non » est même d’autant plus embarrassant.

Le « non » qui permet d’avancer

Si le mot « non » peut sembler à priori négatif, il peut pourtant se révéler constructif. Dans la vie en entreprise, exprimer son opposition peut permettre d’engager des débats constructifs. Dire « oui » à tout ce qui se présente et réfréner son avis ne favorise pas l’émergence d’idées nouvelles. Cela détériore l’estime de soi. Chacun peut partager son opinion, à condition que celle-ci soit argumentée et expliquée. Mais savoir dire « non » demande beaucoup d’efforts, car il s’agit d’apprendre à s’affirmer.

Le « non » pour faire valoir ses droits

Ne pas toujours accepter, c’est aussi protéger ses droits en tant que salarié. Si votre supérieur ou vos collègues vous demandent l’impossible, vous êtes en droit de refuser. Finaliser un projet dans un délai beaucoup trop serré, effectuer des missions qui ne font pas partie de votre travail ou atteindre des objectifs trop ambitieux, sont des requêtes que l’on peut contester. D’autant plus que se plier à ce genre d’exigences engendre du stress.

Le « non » qui permet de se protéger

Apprendre à dire « non » c’est aussi apprendre à se protéger. Si vous vous sentez surmené, dépassé, croulant sous une tonne de travail, il est temps de montrer votre refus. L’épuisement professionnel peut mener jusqu’au burn out. C’est pour cette raison qu’il est important de ne pas faire semblant et d’être clair quant à votre capacité à gérer votre travail. Mais encore une fois, le « non » s’explique. Attention, il ne s’agit pas de s’affranchir de l’avis de l’autre et de se fermer complètement, il faut rester à l’écoute.

À lire également Faut-il aimer son travail pour être heureux ?

Partager l'article

Articles similaires